Aujourd’hui, c’est du côté des Gorges de l’Aveyron que nous vous emmenons. Voici le récit d’une échappée improvisée sur un week-end, combinant canoë, randonnée, villages coquets et nuits étoilées. Le tout au cœur de paysages dont nous nous souviendrons !
Vous n’imaginez pas combien raconter ses voyages fait progresser en géographie. Nous avons si peur de mettre sur écrit des âneries que nous vérifions et revérifions les localisations abordées. Et les Gorges de l’Aveyron, par leur nom, ont perdu plus d’un vagabond. Car voyez-vous, cette portion de la rivière où les berges se resserrent ne se situe guère dans le département de l’Aveyron, mais entre Tarn et Tarn-et-Garonne. Inversement, les Gorges du Tarn se situent en Lozère et Aveyron. Bonjour l’embrouille !
Plus précisément, les Gorges de l’Aveyron démarrent à Saint-Antonin-Noble-Val, frôlent Penne et prennent fin à Bruniquel. À ces trois villages plus beaux les uns que les autres, nous avons ajouté la visite de Cordes-sur-Ciel, absolument pas situé dans les gorges, mais qui nous faisait de l’œil !
Un peu plus près des étoiles, à Cordes-sur-Ciel
C’est à Cordes-sur-Ciel que débute notre escapade. Ce village, spectaculairement perché sur sa butte, n’a pas oublié d’être tout aussi spectaculairement beau.
Depuis que nous traînons nos guêtres dans la région, nous remarquons des touches de Moyen Âge un peu partout autour de nous. Eh bien à Cordes-sur-Ciel, nous sommes carrément au cœur du Moyen Âge, dans des ruelles diantrement instagroimables, comme disaient les damoiselles et les damoiseaux d’antan.
Atteindre la plus ancienne partie de Cordes-sur-Ciel nécessite de grimper à perdre haleine. L’ensemble des parkings se trouve au pied du monticule. Mais une fois la dernière muraille de fortification franchie, tout est soudain bien plat. Les amateurs se régaleront : des maisons venue d’un temps immémorable, un palais aux fenêtres vénitiennes, une vieille halle ou encore une église flanquée d’une tour de château fort. Ceux qui préfèrent le lèche-vitrine ne seront pas en reste, avec des dizaines de boutiques d’artisanat dans tous les recoins.
Le village a plusieurs cordes à son arc, puisqu’autour des ruelles les plus touristiques nous en découvrons d’autres calmes et sauvages, où pierres séculaires et plantes clandestines se livrent une bataille silencieuse.
Quant à la plus jolie ruelle du village, nous la découvrons en redescendant. Ou plutôt la redécouvrons, car nous étions trop occupés à haleter dans la montée pour en profiter. Elle serpente entre les maisonnettes et franchit trois portes successives.
Enfin, pour une glace ou un café, nous conseillons de suivre les flèches vers le Jardin des Paradis. Nous n’avons pas visité le jardin à proprement parler (4€), mais la terrasse de la buvette est elle-même semblable au paradis.
Le soir approche, il est temps de rejoindre notre chambre qui se situe… sur un coin de pelouse de la colline d’en face. Nous avons repéré un spot de bivouac avec la meilleure vue possible sur Cordes-sur-Ciel !
Nous saluons une famille en camping-car, nos voisins pour la nuit, pique-niquons face au coucher de soleil cordes-sur-cielesque et nous couchons avec les poules.
Nous recommandons le point de vue même à ceux qui ne comptent pas dormir ici. Il suffit d’une quinzaine de minutes sur un sentier de randonnée depuis le bas du village (le belvédère est visible sur l’appli Maps.me).
L’aube est réputée encore plus spectaculaire, et il fallait que nous observions cela ! La vallée aurait tendance à accumuler les nuages pendant la nuit et laisser tout juste dépasser le sommet de Cordes lorsque le soleil reprend sa place. Le village flotte alors sur une mer vaporeuse. Cela a inspiré le suffixe « sur-Ciel » à une poétesse autochtone, adopté ensuite par la mairie.
Ce ne sera pas pour cette fois ! Il fait froid, il brume, il crachine, bref nous sommes DANS le nuage !
Conseils pratiques pour visiter Cordes-sur-Ciel
Parking
Le tarif est unique, que ce soit pour une heure ou pour la journée : 3,50€ en haute saison, 2€ en basse.
Spot de bivouac
Nous l’avons trouvé via l’appli Park4night (qui est devenue semi-payante depuis). Il se situe ici, au bout d’un chemin (très bosselé), il y a à peine la place pour un ou deux véhicules. Il vaut mieux, si vous avez une tente, vous garer avant la fin et terminer à pied.
Dormir à Cordes-sur-Ciel
Naturellement, il est aussi possible de dormir au chaud et sous un toit ! Plusieurs hébergements sont proposés dans le village. Par exemple, la chambres d’hôtes l’Escuelle des Chevaliers (~89€ petit déjeuner compris)i, dans une belle demeure médiévale de la vieille ville.
Boucle en randonnée entre Penne et Bruniquel
Laissant le ciel de côté, nous rejoignons les rives de l’Aveyron. Le programme de cette nouvelle journée consiste en une randonnée pour rallier le village perché de Bruniquel depuis Penne, un village tout aussi perché. À croire que les crues de la rivière sont terribles. L’itinéraire suit une boucle sur dix-sept kilomètres, ce qui permet de récupérer la voiture là où nous l’avions laissée.
Nous n’attendions rien de particulier de Penne, or ce village est un bijou en roc massif, serti d’un château dix-huit carats. Le bijoutier n’y est pas allé de main morte sur la silhouette du rocher :
Les ruelles sont très simples. Rien n’est prétentieux, tout est délicieux. Les maisons à colombages, les portes de pierre, les photos d’époque accrochées aux murs et surtout les poèmes distillés sur des ardoises.
Nous hésitons à grimper au château pour le visiter (5€), mais une affichette indique que la visite prend une heure. C’est qu’une randonnée nous attend !
Bâtons en main et brin d’herbe aux lèvres, nous nous enfonçons entre les chênes et les fleurs sauvages. Le sentier monte, descend, serpente, longe des crêtes, mais jamais n’ennuie.
Seule légère déception : nous pensions profiter de multiples vues sur l’Aveyron et sur ses gorges déployées. Il est hélas assez pudibond et se dérobe à notre regard sur la majeure partie de la randonnée.
Tout à coup… tiens, quel est ce village qui joue à l’équilibriste sur une falaise ? C’est Bruniquel !
C’est le coup de cœur du week-end. Bruniquel nous ensorcelle. Chaque ruelle déborde de fleurs, chaque virage invite à découvrir le suivant et chaque maison apporte sa touche de fantaisie. Nous nous régalons et en venons à nous demander si le fait d’arriver à pied n’aurait pas décuplé nos émotions.
Deux noms de rue retiennent notre attention : Trotte-Garces dont la signification nous échappe et Bombecul, tellement pentue…
À force d’arrondir le postérieur, nous atteignons le château au sommet du village, que nous visitons cette fois-ci (3,50€). Ou plutôt les châteaux, car différentes époques et architectures se partagent le lieu. L’état général est loin d’être rutilant, certaines parties tombent même en morceaux, mais la visite est enrichissante et comprend quelques expositions de photos.
Nous nous exclamons même devant la colonnade, style renaissance, qui surplombe la verte rivière et la non moins verte nature environnante.
Si, après coup, nous devions choisir un hébergement dans les gorges de l’Aveyron, ce serait sans hésiter Bruniquel. D’autant plus que nous apercevons des panneaux indiquant neuf randonnées à la journée au départ du village. Dernier argument pour venir, il y a des figuiers qui embaument un peu partout. Mmmmmm…
Nous pique-niquons au pied du village, près de l’Aveyron, puis entamons le retour à Penne par un autre chemin, sur la rive opposée. Nous attendent de nouvelles montées, de nouvelles descentes, l’ombre rafraîchissante de nouvelles chênaies, des crêtes et… les cigales les plus assourdissantes de France !
Avant que nous ne soyons au bout de nos peines, Penne revient dans notre champ de vision. La boucle est bouclée !
Conseils pratiques pour randonner entre Penne et Bruniquel
Itinéraire de la randonnée
Nous avons adoré cet itinéraire trouvé sur Visorando. Le dénivelé indiqué ne prend pas en compte la montée dans Bruniquel, ajoutez-y donc quelques gouttes de sueur. Nous vous conseillons de partir tôt le matin, car il fait rapidement chaud sur les plateaux en été. Des sources d’eau potables sont disponibles aux deux villages pour recharger les gourdes.
Une soirée à Saint-Antonin-Noble-Val
En fin de journée, nous reprenons la route vers Saint-Antonin-Noble-Val, à l’autre extrémité des gorges de l’Aveyron. La ville nous plaît elle aussi dès les premières secondes. Il faut avouer que l’arrivée par le pont, depuis la rive opposée, ouvre l’appétit oculaire.
Nous pensions qu’en tant que « grande ville du coin », Saint-Antonin-Noble-Val serait moins choupinette que nos précédentes illuminations, mais que nenni. Elle possède elle aussi un sacré patrimoine culturel et floral.
Un imposant beffroi occupe la place centrale, ainsi qu’une halle de vieux marché, tandis que des ruelles pavées entremêlent leurs volets colorés. Surtout, l’ambiance est enjouée, détendue, décontractée. La Terre peut bien s’arrêter de tourner, les multiples terrasses continueront de trinquer.
Conseils pratiques pour visiter Saint-Antonin-Noble-Val
Camping
Lors de notre première visite, nous avons jeté notre dévolu sur le municipal Le Ponget, bien tenu et aux prix tout doux (13,30€ la nuit pour deux).
Chambre d’hôtes
De retour deux ans plus tard, nous avons été ravis de faire étape dans la belle maison d’hôtes Marie Colline à la Campagne (~90€ avec petit déjeuner)i, en plein centre, avec jardin au bord de l’Aveyron. Tout est parfait : l’accueil ultra sympathique, le charme de la maison, la vue, le petit déjeuner en terrasse… Si jamais c’est libre à vos dates, foncez ! La propriétaire tient d’ailleurs un restaurant du même nom situé à Cahors que nous aimons beaucoup.
Restaurants
Aux beaux jours, les guinguettes fleurissent dans la région. À 10km de Saint-Antonin-Noble-Val, nous avons passé la soirée à la Guinguette le Boui Boui du Pays, une adresse adorable faite de bric, de broc, de guirlandes et de roulotte. Au menu, quelques plats simples mais gourmands (dont la moitié végétariens) et de bons vins locaux.
Boucle canoë-randonnée entre Saint-Antonin-Noble-Val et Cazals
Pour le dernier jour de ce week-end dans les Gorges de l’Aveyron, nous tirons d’un chapeau à gages imaginaire le papier suivant : « Descendez la rivière en canoë et remontez à pied ». Chiche !
Plus prosaïquement, nous cherchions à profiter un maximum des gorges et à changer de point de vue, tout en laissant la voiture au placard pour la journée. Le résultat fut à la hauteur de nos espérances !
Après avoir loué un canoë à Saint-Antonin-Noble-Val, nous voilà lancés pour dix kilomètres de flip flop flip flop jusqu’au village de Cazals. Là, nous rendrons l’embarcation et rentrerons à pied sur une douzaine de kilomètres en passant par les collines et en profitant de la vue.
C’est une belle rivière qui nous accueille, large, aux berges très peu construites. Comme nous partons parmi les premiers de la journée, nous sommes pratiquement seuls. En fin de matinée ou l’après-midi, c’est un défilé permanent. Nous profitons d’une eau lisse, de quelques hérons et d’un soleil encore doux.
Nous ne nous endormons pas pour autant. À intervalles réguliers, des rapides nous réinjectent un peu d’adrénaline dans le sang et trois barrages nous offrent des douches gratuites. Un parcours amusant et bien équilibré.
Les loueurs nous avaient prévenus, tout ce qui dépasse sera mouillé. Eh bien c’est le cas. Surtout pour la personne placée à l’avant et sur un barrage en particulier. Nous vous laissons le suspense, sinon ce n’est pas drôle.
Conseils pratiques pour le canoë-kayak depuis Saint-Antonin-Noble-Val
Location de canoë
Nous avons opté pour l’agence la moins chère, appelée Cap Canoë et située à deux cents mètres seulement du centre-ville. Rien à redire, ils sont pro et sympas.
Pour les 10km qui mènent à Cazals, comptez 20€ par personne et entre 2h30 et 3h sur l’eau selon vos biscottos. Pratique, les bidons étanches sont suffisamment grands pour y glisser des sacs à dos et même des bâtons de randonnée repliés. Cela va sans dire, si vous ne comptez pas randonner pour le retour, la navette de l’agence vous ramènera au point de départ.
Avant d’attaquer la randonnée, il faut remplir nos estomacs qui crient famine. La « guinguette » repérée près du point d’arrivée des canoës s’avère être un restaurant un peu chic et surtout… complet ! Gloups. Devant nos têtes paniquées, la serveuse finit par nous trouver une table. Mais si vous suivez nos traces, ayez soit un pique-nique, soit une réservation en poche.
C’est un peu plus lourds que nous nous remettons en route. Le premier tiers de la randonnée ne suit pas de sentier précis, il nous force à marcher par moment sur le bitume. Attention à ne pas grimper comme nous jusqu’au village de Brousse, car il vous faudra alors redescendre par un chemin particulièrement raide, avec échelles et chaînes ! Il convient de le contourner par la gauche en suivant la rivière (nous vous glissons l’itinéraire plus bas).
Les choses sérieuses commencent lorsque nous quittons le bord de l’Aveyron à l’attaque de la colline. L’ombre d’une forêt bien chevelue nous offre sa fraîcheur jusqu’au sommet.
Nous atteignons alors un plateau doté de points de vue réguliers. Le belvédère ultime étant celui du cirque de Bône, qui nécessite un léger détour de quatre cents mètres.
Nous redescendons ensuite via la « côte de Ouf », c’est son nom officiel ! Et effectivement elle est ouf, comprenez sacrément raide. Heureusement que nous l’empruntons dans le sens de la descente et que des cordes sont là pour éviter de rouler-bouler jusqu’à l’eau.
Et nous revoilà au niveau de la rivière.
Notre périple s’achève sur trois kilomètres de plat jusqu’à Saint-Antonin-Noble-Val. Une fin toute en douceur, sous des arbres au bord de l’eau, avec une pause baignade bien méritée !
Conseils pratique sur la randonnée
Itinéraire
Nous avons mis en ligne ici sur Wikiloc le tracé redessiné à la main de notre itinéraire. Nous ne sommes pas certains à 100% qu’il existe un passage piéton à gauche de Brousse pour rejoindre le pont, merci de nous le confirmer si vous le réalisez. Sinon, il vous faudra monter au village, le traverser et trouver le chemin qui descend au niveau des containers de recyclage. Cette randonnée nous a demandé environ 4h, en prenant tout notre temps.
Le restaurant de Cazals
Il s’appelle La Guinguette de Cazals et attire des gens bien habillés venus en voiture pour l’occasion, plutôt que des randonneurs en shorts mouillés. Mais le lieu et le personnel sont très sympas. Comptez 25€ pour entrée-plat-dessert ou 18€ le plat seul. Nous nous sommes vu offrir une ristourne pour la version végétarienne. Réservation impérative en haute saison.
Un dernier point de vue pour la route
Avant de repartir, nous nous offrons une montée au point de vue du Roc d’Anglars. En voiture cette fois, nos jambes font grève. Celui-ci se situe juste au-dessus de Saint-Antonin-Noble-Val et permet d’admirer la ville ainsi que la région entière. Et quelle région, n’est-ce pas !
Pour prolonger la lecture, passez voir notre article sur Albi et les villages alentours. Puycelsi, par exemple, est un coup de cœur situé à douze kilomètres seulement de Bruniquel.
Super week-end.Et comme d’habitude les photos sont superbes. Merci à tous les 2 pour les belles idées rando.
Merci Virginie !
Au fait, que faites-vous finalement cet été ? Vous partez à l’étranger ou vous restez en France ?
Alors on a été très sage. La période est trop incertaine et on voulait ne pas être dépendant des avions ou trains
4 jours à Anvers, 2 à Eindhoven ( surprenante) et 4 à Duisburg en Allemagne pour voir des amis. On avait comme besoin de changer d’air. Vacances très citadines mais super. Nous sommes partis à contre courant des lieux touristiques.
Et vous toujours en France????
C’est vrai que vous n’avez pas choisi les destinations les plus courues !
Nous oui, toujours en France. On ne sait pas jusqu’à quand, il y a trop d’incertitudes encore. En attendant on a prévu un programme bien fourni en randonnées !
Waow tout ça! Je connais tellement mal tout le sud-ouest de la France, je suis contente de découvrir à travers votre périple. Je note donc pour de prochaines vacances: Tarn et Tarn-et-Garonne!
Et encore, on n’a fait qu’effleurer ces deux départements, il y a apparemment des dizaines d’autres beaux villages. C’est dur de devoir faire des choix !
Coucou les explorateurs, merci pour vos partages d’expérience, les images font voyager et sortir de la routine tristounette du travail 😁 Quand on voit qu’il y a des merveilles pareilles en France, on comprend qu’il n’y a pas forcément besoin de traverser la moitié du globe pour trouver un coin de paradis…Bonne continuation, prenez soin de vous et mille merci!
Eh oui il y a de sacrement beaux coins en France ! On le savait mais c’est mieux de le reverifier de temps en temps 😊
Super, ça donne trop envie, certainement une prochaine destination. En plus on a 2 kayaks… 😉 Bon, ça faut vraiment viser hors saison !! Vous y étiez en juin ?
C’était début juillet, mais un mois de juillet un peu spécial, plutôt calme. On a juste vu pas mal de monde à Cordes-sur-Ciel.
On ne sait pas à quel point il y a foule d’habitude, mais si vous pouvez viser hors saison, c’est sûr c’est mieux !
On ne savait pas que vous aviez des kayaks, trop bien !
Ca fait plusieurs mois que je voulais vous remercier car grâce à vous j’ai pu organiser un SUPERBE séjour dans les Gorges de l’Aveyron ! J’ai suivi vos conseils de près, en réservant une maison trop mignonne à Bruniquel, quel magnifique village ! Nous avons visité les alentours à pieds et en kayak grâce à vos conseils encore une fois, je suis tombée amoureuse de la région !!! Merci !!!!!
Coucou Beniloc,
On aurait pu deviner ton prénom, depuis le temps 🙂
Eh bien nous ton message nous fait très plaisir. On est heureux d’avoir partagé cette petite escapade qu’on avait adorée !
Après votre blog sur Tenerife qui m a bcp inspirée et aidée je vous retrouve pour les gorges de l Aveyron… top. J adore votre blog précis.. Pas m as-tu vu et qui fait envie! Merci!!!
Tiens tiens… pas le même style mais sympa aussi ce coin, on aime beaucoup ! Merci à toi !
Bonsoir
Je n’arrive pas à trouver sur les cartes la zone bivouac où vous avez séjourné lors de votre séjour à Saint antonin
Pouvez vous m’aider svp
Merci
Bonjour Stéphanie,
Tu parles du bivouac en face de Cordes sur ciel ? Tu peux retrouver l’emplacement ici sur google maps : https://goo.gl/maps/F53C5Z9nYE9S5yMVA
Bonjour, merci à vous pour cette article 😊.
Je recherche aussi la zone de bivouac.
Il s’agit donc du point de vue ?
Je viens de télécharger l’application je ne vois nulle part une notification zone bivouac.
J’aimerais avoir des informations sur ce lieux.
Pouvez vous m’informer s’il vous plaît ? Réservation ? Pensez vous que ce n’est plus autorisé si il n’y a pas de notification sur l’App ?
Merci à vous
Belle journée et belle vacances à venir
Bonjour Jessica,
Effectivement il s’agit du point de vue indiqué sur Google Maps.
Nous avons vérifié dans l’application, on dirait qu’ils ont rendu ce spot réservé aux personnes inscrites ou abonnées.
Il s’agit d’un lieu assez sauvage, les « emplacements » ne sont pas plats, il faut composer avec le terrain. Pas de réservation, premier arrivé premier servi, donc nous déconseillons de s’y rendre en haute saison. Peut-être même qu’un jour ce ne sera plus autorisé. À toi de voir si tu tentes ou pas, en connaissance de cause !
Belles vacances à toi aussi
Merci de votre retour pour le bivouac corde sur ciel.
Connaissez-vous un plan B ?
Belles vacances ☺️
Non, désolés, nous n’y avons passé qu’une nuit et ne connaissons pas plus que cela !