Après deux mois en Sicile, nous concrétisons un autre rêve, celui de vivre dans les Pouilles pendant un petit moment. À vrai dire, nous nous imaginerions bien habiter dans chacune des vingt régions italiennes, mais chaque chose en son temps. C’est ainsi qu’un beau matin de juin, encore engourdis par notre nuit de bus, nous réalisons nos premiers pas dans la ville de Lecce, tout au sud de l’Italie. Celle-ci fera office de décor à notre vie de vagabonds durant un mois.
Loin d’être « pouilleuse », Lecce nous fait immédiatement forte impression. Elle est sans conteste l’une des plus belles villes de l’un des plus beaux pays au monde.
À peine la Porta Napoli franchie, nous sommes éblouis, au sens propre comme au sens figuré. Le centre de Lecce, intégralement taillé de pierres blanches, s’est juré de faire chavirer les âmes les moins romantiques et les lunettes de soleil les plus sombres.
Nous longeons des églises baroques et des palais d’époque, sous l’œil amusé de statues de saints sourcilleux et de chérubins dodus, puis toujours plus d’églises baroques et de palais d’époque, avant de ressortir par la Porta Rudiae et rejoindre le studio qui nous attend.
Quelle entrée en matière !
Un mois, c’est beaucoup pour une ville qui se visite en trois heures. Nous nous sommes donc retrouvés à répéter en boucle deux activités : flâner dans les ruelles et manger.
Cependant, Lecce s’avère une excellente base pour explorer la région des Pouilles, et plus particulièrement la péninsule du Salento, son extrémité sud.
Rien n’a encore été inventé de mieux, après une dure journée de balade ou de baignade, que de prendre une douche et ressortir siroter du vin blanc dans une jolie rue pavée.
Le centre de Lecce en long, en large et en chemins de traverse
À Lecce, tout se visite à pied et le nez en l’air. Si vous avez de bonnes chaussures, suivez-nous, nous allons tâcher de vous présenter les lieux les plus intéressants de la ville.
Tout d’abord, le centre est traversé par la via Giuseppe Libertini. Parcourir cette rue principale, c’est déjà admirer quelques palais pas laids et d’exquises églises. Si vous remarquez sur l’une d’elles une chèvre surmontée d’un brocoli, il s’agit en réalité d’une louve et d’un arbre, les symboles de la ville. La pierre de Lecce se sculpte sans difficulté, mais elle s’érode tout aussi facilement.
Vers la moitié de cette rue, vous ne pourrez pas rater l’ouverture qui mène à la plus belle réussite de Lecce, à savoir la Piazza del Duomo. Ici, tout est beau, blanc et baroque à 360°.
Si vous avez la possibilité de vous y rendre de nuit, la place se transforme en un îlot de calme mis en valeur par la douce lumière des réverbères.
Toujours sur la fameuse via Giuseppe Libertini, à l’extrémité est, se trouve une autre place plus récente et tout aussi riche en monuments historiques, la Piazza Sant’Oronzo. Au pied d’une étrange église vénitienne mise sous verre et de la grande Banque d’Italie, s’étale un bout d’amphithéâtre romain. La façade de la banque était prévue pour être droite, mais la découverte des vieilles pierres sous le chantier en a voulu autrement.
Non loin, les amateurs de gros murs apprécieront le mastoc château Charles V, dont la visite du rez-de-chaussée est gratuite (la partie payante est paraît-il décevante, passez votre chemin).
Ceux qui préfèrent la finesse et la délicatesse les trouveront toutes deux au Couvent des Célestins, qui fait maintenant office de siège du gouvernement local. Admirez au passage la façade de la basilique de Santa Croce mitoyenne, malheureusement en rénovation lors de notre séjour.
À force de voir monsieur et madame Tout-le-Monde entrer dans cet ancien couvent comme dans un moulin, dans un élan de sagacité, nous avons fini par comprendre qu’il possédait une sortie arrière. Nous vous invitons à l’emprunter pour tomber nez à nez avec le parc Villa Comunale. Les espaces verts ne sont pas nombreux dans les vieilles cités italiennes, savourez.
En fin de journée, le jardin devient le lieu de rendez-vous des retraités leccesi, qui arrivent à bicyclette, élisent un banc et s’y installent pour échanger des nouvelles fraîches tout en profitant de la fraîche. C’est également un bon endroit où grignoter à l’ombre une part de focaccia aux tomates cerises.
Retournons maintenant dans les ruelles du centre pour digérer tout cela. Notre partie préférée de Lecce n’est pas celle des lieux touristiques principaux. C’est plutôt l’adorable labyrinthe de ruelles qui se tortillent et s’entremêlent dans les recoins de la vieille ville, à tel point qu’il nous faudra bien deux semaines pour parvenir à nous y repérer sans plan.
Nous évoluons alors dans un monde de petites maisons de pierre, de vieilles portes en bois sculpté, de chats nonchalants, de balcons fleuris et même, dans les plus infimes artères, d’habitants qui vivent encore portes et fenêtres ouvertes, la télévision en action et la cocotte-minute qui siffle.
En prime, au mois de juin, nous avons régulièrement droit à l’ensorcelant parfum des arbustes de jasmin et aux couleurs vives des bougainvilliers en fleur. Probablement les deux meilleurs inventions mises à disposition des jardiniers par la nature.
Nous vous glissons deux noms de ruelles charmantes : via Antonio Galateo et via Beccherie Vecchie. Mais le mieux, pour visiter Lecce, reste de s’y perdre.
Avec un peu de chance, vous tomberez même sur le discret petit théâtre romain (à ne pas confondre avec l’amphithéâtre).
Mais où sont passés les habitants de Lecce ?
À force de tourner dans le centre historique, nous finissons par remarquer… qu’il ne possède aucun magasin de fruits et légumes.
Aucun opticien, aucune auto-école, aucun coiffeur. Aucune boutique normale, juste des restaurants, des échoppes pour touristes et des plaquettes indiquant des Bed & Breakfast tous les douze pas.
Comme dans beaucoup de villes méditerranéennes, il vint un temps où la population ne supporta plus de vivre serrée dans de vieilles ruelles médiévales. Lorsqu’une ville nouvelle, spacieuse et rectiligne jaillit de terre juste à côté, les habitants du centre s’y engouffrèrent.
Jetez un coup d’œil au quartier qui entoure la place Giuseppe Mazzini, ici se cachent les boutiques de prêt-à-porter, les boulangeries, les fleuristes et toute la vie locale !
L’arrivée des touristes a changé la donne. Lecce a rapidement compris l’attrait que suscitaient ses vieux murs et les a rénovés pour héberger ses nouveaux invités.
Rassurez-vous, il reste certaines occasions pour lesquelles les leccesi se réapproprient leur vieux centre. D’abord, tous les weekends, les églises s’emplissent de mille fleurs pour accueillir d’élégants mariages.
Et puis, un peu tous les jours mais surtout le samedi soir, il y a la fameuse passeggiata, lorsque les habitants sont subitement pris d’une envie d’arpenter la ruelle principale de Lecce. Ils s’habillent avec soin, débarquent par toutes les portes, s’achètent une glace et évoluent le plus lentement possible d’un bout à l’autre du centre historique. La foule est incroyable, il faut le voir pour le croire !
Le secret, si vous souhaitez vivre avec les locaux, consiste donc à… faire une bonne grosse sieste et ressortir en pleine forme à 22h !
Et si vous restez très tard, vous profiterez seuls de l’éclairage nocturne qui habille à merveille la pierre blanche.
Découvrir Lecce par l’assiette
La vieille ville est parsemée de mignonnes terrasses de restaurants qui donnent plus envie les unes que les autres. Mais que mange-t-on à Lecce ?
Démarrons cette chronique culinaire par quelques spécialités bien locales. Les deux plats les plus fréquemment mis en avant sont la frisa et la puccia.
L’une est un morceau de pain sec recouvert de dés de tomates, ressemblant à la bruschetta mais possédant une texture bien différente. L’autre est un sandwich rond typique d’ici, farci à tout ce qui vous ferait plaisir.
Les deux plats suivants, bien rustiques, semblent arriver droit du Moyen Âge. La fava est une purée de fèves traditionnellement accompagnée à Lecce de feuilles de chicorée.
Quant au ciceri e tria, il s’agit d’une soupe aux pâtes frites et aux pois chiches. Mi-fugue a adoré, Mi-raison… pas tellement.
Le plat qui nous réconcilie est évidemment la pizza. Nous avons une adresse délicieuse à vous confier plus bas, dans les infos pratiques.
Dans cette pizzeria, les ingrédients sont si savoureux que la version la plus simple, garnie uniquement de sauce tomate, de basilic et d’ail, est une tuerie (et pas seulement pour l’haleine).
Le gros point fort de Lecce, c’est aussi le fait que n’importe quelle petite boulangerie prépare et vende de la focaccia bien fraîche. Vous pointez du doigt celle qui vous fait de l’œil (nature, patates, tomates cerises…) et en demandez une tranche selon votre appétit.
Nos balades se terminent d’ailleurs souvent par l’achat d’une part de pizza ou de focaccia, dégustée en fin de journée sur notre mini balcon, lorsque les températures redeviennent supportables. La belle vie à l’italienne !
Enfin, niveau boisson, nous avons craqué pour le caffè leccese, dégusté glacé avec du lait d’amande. L’essayer c’est l’adopter.
Le cimetière de Lecce
Vous avez du temps à tuer à Lecce ? Ça tombe bien, nous avons une dernière demeure à vous conseiller. Alors oui, cela peut paraître glauque, mais cet élégant cimetière mérite une visite ! Surtout la zone des mausolées, où les riches familles se sont fait bâtir de vrais monuments miniatures.
Vous pouvez vous y rendre en dix minutes à pied depuis la Porta Napoli. Une fois face à l’église du cimetière, franchissez la petite porte à sa gauche.
Notre avis sur Lecce
Cette ville est réellement superbe ! Les amoureux de l’Italie y flâneront avec délectation et profiteront des terrasses ensoleillées des heures durant. Cependant, il y a tant d’autres beaux endroits à voir dans la région des Pouilles qu’il n’est à notre avis pas nécessaire de prévoir plus d’une demi-journée à Lecce. À moins de vous en servir comme base pour explorer le reste du Salento ou les plages du coin. La plus proche ne se situe qu’à 13km.
Sur le long terme, nous avons trouvé la ville un peu endormie. Elle n’a pas ce côté joyeusement bordélique que nous avons adoré à Palerme, Naples ou Bari. Elle manque également de manifestations culturelles telles que des concerts ou spectacles. Restent la passeggiata et la gastronomie italienne pour se divertir !
Conseils pratiques pour visiter Lecce
Où manger à Lecce
Prenez des notes car nous avons une longue liste d’adresses. Et les végétariens n’auront rien à craindre, les Pouilles sont probablement la région d’Italie où il est le plus facile de se régaler sans viande !
- Une excellente part de pizza ? Foncez chez Pizza & Co. À partir de 19h, les sympathiques gérants préparent des pizzas toutes fraîches dont ils coupent de larges parts pour 2-3€. Et si aucune ne vous convient, ils en cuisinent de nouvelles à la demande. Même les recettes les plus simples sont divines. Trois petites tables sont posées dans la rue, souvent déjà pleines à craquer. Installez-vous alors sur les marches de l’église voisine.
- Une bonne focaccia ? Malgré son nom français, Boulangerie, dans le quartier nouveau, est une excellente adresse. La terrasse est agréable, surtout le matin, pour prendre un petit déjeuner au milieu des locaux qui feuillettent le journal.
- Une glace ? Notre glacier préféré est la Pasticceria Natale. Les parfums sont nombreux et particulièrement réussis, comme le chocolat-orange ou le chocolat-rhum.
- Un caffè leccese bien frais ? Nous conseillons Caffè Cittadino. Les prix sont un peu plus élevés qu’ailleurs, mais la qualité est là. Nous y revenions souvent pour travailler sur nos ordinateurs car il s’agit du seul café vraiment adapté à Lecce.
- Un Spritz ou un verre de vin, voire un aperitivo ? Repérez la toute petite terrasse de La Galleria, juste en face du Couvent des Célestins. L’équipe derrière le bar s’applique. Si vous préférez tenter un Spritz à la framboise ou cerise (sacrilège ?), ou encore d’autres cocktails originaux, vous pouvez vous installer sur la ravissante terrasse d’Al Baffo.
- Des plats typiques de Lecce ? Du côté des « vrais » restaurants, c’est chez Alle Due Corti que nous avons goûté la fava à la chicorée et les ciceri e tria. Comptez 8€ le plat. Cela vient avec une décoration un peu poussiéreuse, mais typique elle aussi !
- Une pizza un peu mieux installés que chez Pizza & Co ? La petite terrasse de chez Ciro Pizzeria est parfaite avec vue sur une belle église. Il s’agit cette fois-ci de pizzas individuelles, délicieuses et pas chères (entre 4 et 8€). Dommage qu’ils servent dans des assiettes en plastique. Si vous ne souhaitez pas attendre pour obtenir une table, visez d’arriver avant 20h.
Où dormir à Lecce
L’idéal pour profiter des charmes de la ville est indéniablement de loger dans le centre historique. De nombreuses petites maisons d’hôtes discrètes se sont installées dans des bâtiments rénovés des vieilles ruelles de Lecce. Voir ici les logements les mieux notés de la villei.
Par exemple, Dimi House (~80€)i semble offrir un très bon rapport qualité/prix. Si vous avez plus de budget, nous avons également repéré la superbe Dimora Storica Muratore (~160€)i qui nous faisait baver à chaque fois que nous longions sa façade.
Visiter les églises de Lecce
La plupart des églises sont payantes et font l’objet d’un ticket commun que vous pouvez acheter sur la Piazza del Duomo. Le tarif est de 10€ par personne ou 20€ pour une famille entière.
Venir à Lecce en transports
La ville de Lecce est le terminus d’une ligne de train un peu lente mais bon marché qui remonte toute la côte est jusqu’au nord de l’Italie. Comptez par exemple 1h40 depuis Bari ou 7h depuis Bologne. Vous avez aussi la possibilité de traverser vers la côte ouest et atteindre Rome ou Naples par exemple, en procédant à des changements.
Sinon, les bus de ligne sont très efficaces en Italie. C’est à bord d’un bus de nuit que nous sommes arrivés à Lecce depuis Milazzo en Sicile, pour 20€. Il faut juste prévoir de bonnes boules Quies car les Italiens aiment papoter du matin au soir, puis du soir au matin. Pour comparer les différentes compagnies, nous vous conseillons le site Busbud.comi.
Visiter le reste des Pouilles sans voiture
Nous avons réalisé quelques belles excursions dans les Pouilles depuis Lecce. Voici les deux articles dans lesquels vous pouvez piocher des idées :
Oh wow ! J’ai passé une partie de l’été à Turin et j’ai adoré (plus que la Sardaigne à vrai dire). Je recherchais des idées de villes et régions nouvelles à découvrir en Italie continentale et je pensais justement à Lecce ou la Calabria, que je ne connais pas.. Lecce me paraît très agréable mais je n’avais pas eu de coup de cœur pour Bari, en revanche. Sinon, connaissez-vous Matera ? Ça a été une très belle surprise pour moi il y a plusieurs années. La ville est sûrement plus touristique depuis James Bond et son élection en tant que capitale européenne de la culture.
Turin est animée l’été ? Bari, on y est passé vite fait, on a bien aimé le côté plus vivant qu’à Lecce, avec le linge qui pend des balcons et les habitants qui s’engueulent fort dans les rues. Lecce est sublime, mais très calme ! À voir selon tes envies du moment 🙂
On a visité Matera il y a dix ans, la ville nous avait impressionnés, surtout que c’était un jour d’orage, quelle ambiance !
Sinon, parmi les villes qu’on ne connaît pas encore mais qui nous tentent, on entend depuis longtemps beaucoup de bien de Bologne qui semble appréciée à la fois des touristes et des Italiens. Ça donne envie d’y passer quelques semaines (ou plus !).
Et puis on aime beaucoup Naples et Rome, mais ça ne semble pas évident de s’y loger à bon prix.
Ah on pourrait en passer du temps à évoquer des villes italiennes où il fait bon vivre !
Suffisamment animée sans être trop fréquentée. Beaucoup plus tranquille que Rome ou Florence, par exemple. Et beaucoup plus jolie et agréable que Milan, à mon avis. Bologne est magnifique ! En plus, c’est la capitale gastronomique du pays. C’est un peu le Lyon de l’Italie. Je vous comprends totalement, je suis aussi touché par un cas sévère d’italophilie. De mon côté, parmi les villes italiennes que je ne connais pas encore, je suis très attiré par Parme, Ravenne, Vérone, Padoue ou des villes plus confidentielles comme Ferrare, Modène, Mandoue et Vicence 🙂
Dans cette liste, on te conseille surtout Vérone et Padoue ! Parme, Mantoue et Ferrare sont jolies aussi, mais nous ont moins marqués. On est curieux de voir Gênes sinon ! De toute façon, quel endroit n’est pas beau en Italie ?
Très bel article sur une ville qui semble merveilleuse à découvrir. J’ai hâte de lire votre article sur les autres attraits de la région, le Salento est si beau ! Merci encore.
Merci Muriella ! Oh oui, quelle belle région !
Bonjour
Nous passerons en famille à Lecce le mois prochain. Nous avons un après midi à consacrer à cette ville. Faut il y aller dès 14h afin d’avoir un maximum de temps pour visiter, ou il fera trop chaud / la ville sera morte et il vaut mieux attendre au moins 16h pour s’y aventurer ? (dans ce cas, aurons nous assez de temps pour découvrir la ville ?)
Merci !!
Bonjour Jenny,
Hmmm… que ce soit à 14h ou à 16h, les rues sont tout aussi désertes, il faut attendre encore un peu pour que l’animation reparte. Après ce n’est pas si grave, la ville reste jolie même sans passants. Si vous restez deux ou trois heures, ça vous laisse amplement le temps d’en profiter.
Merci pour votre retour !
J’avoue n’avoir aucune idée jusqu’à quelle heure tout est ouvert dans les villes des Pouilles (nous avons prévu de visiter Alberobello, Monopoli, Lecce, Otranto, Ostuni….), est ce que les boutiques ferment à 18h ? 19H ? plus tard ? Pour les restaurants, jusqu’à quelle heure peut on y diner ?
Merci encore pour votre aide afin de terminer la préparation de notre séjour !
Les boutiques ferment généralement à l’heure de la sieste (13h-17h) puis rouvrent jusqu’à 20h environ. Les restaurants ouvrent vers 19h ou 20h et restent ouverts tard, jusqu’à minuit à Lecce par exemple, car les locaux ne s’installent pour dîner qu’à partir de 21h ou 22h.
Bon séjour dans les Pouilles !
Merci pour ce bel article qui nous a bien servi et bien inspiré… nous y avons malheureusement passé qu’une petite journée mais nous avons beaucoup aimé alors que le gothique ce n’est pas trop notre truc à la base.
Salut Amélie,
C’est clair, il y a largement de quoi être emballé par Lecce en une seule journée. On en prend plein les yeux comme dans un musée à ciel ouvert !
(PS : merci pour le lien vers notre article)
J’aime beaucoup votre blog… récemment vos idées randos à Madère m’ont donné envie d’y aller… je viens de vous rajouter à ma blog roll, car vraiment votre contenu est de qualité… J’attends avec impatience votre prochaine destination.
C’est sympa, merci ! Madère, c’est formidable, on te le conseille vivement !
Italia bella..de Lucca(toscane) a Lecce(pouilles) en passant par Verone,reggio,bologna,parma,modena et Firenze ,Roma..
Mamma che bel paese.
Héhé bien résumé !
Enorme déception pour Lecce car désormais, et depuis 2 ans visiblement, toutes les églises sont devenues payantes, ce qui est lamentable, car maintenant il faut débourser une sacrée somme d’argent si on veut faire le tour des églises en famille. du coup on se contente des rues…
C’est d’autant plus scandaleux que c’est une commercialisation abusive d’un bien culturel et religieux qui a toujours été gratuit, comme c’est encore le cas partout en France, en Allemagne et dans la plupart des pays européens. Une honte pour les élus. Il faut donc ne pas hésiter à vous plaindre dès que vous trouvez une église payante car d’après un agent de la ville de Lecce, « tant que les touristes ne se plaignent pas, on fera payer »…
Salut Frédéric,
Malheureusement, c’était déjà le cas il y a quatre ans, on l’indique dans l’article. L’Italie a cette mauvaise habitude de faire payer l’entrée dans les églises. Une exception notable, si jamais : la ville de Gênes, où les églises sont gratuites et magnifiques !
Bonjour
Merci pour ce fabuleux blog, nous aimerions savoir si les itinéraires que vous avez emprunté sont fléchés ou pouvez vous nous dire la marche à suivre.
Nous vous remercions pour votre réponse.
Françoise et Emile
Bonjour Françoise,
Nous ne sommes pas sûrs de comprendre la question. Vous souhaitez suivre des itinéraires pour visiter Lecce ?
Je parlais du circuit de 2 jours en vélo dans les pouilles que vous décrivez à savoir si ce circuit est balisé.
Non, ce n’est pas balisé sur place. Nous avons glissé une carte approximative dans cet article, puis il faut être habile en suivant une carte sur téléphone ou papier, tout en visant la direction générale vers le village suivant.
Bonjour depuis Nicosie Chypre!
J’ai aussi trouvé Lecce magnifique mais peut-être un peu tranquille pour y vivre plusieurs mois. Dans la région vous conseillez plutôt Bari?
Merci
Bea
Salut Bea,
On sort justement bientôt notre article sur Bari ! On a trouvé beaucoup de charme à la ville mais on s’y serait sûrement un peu ennuyés au bout de quelques semaines. Dans le sud de l’Italie, on conseillerait plutôt Naples ou Palerme pour plusieurs mois. C’est sympa Chypre ?
Bonjour! Merci pour votre retour. Oui Chypre c’est sympa, très différent et vivant, surtout Nicosie. Ce n’est pas du tout similaire à la Grèce. N’hésitez pas à me contacter si vous venez dans le coin 🙂