Début mai, un vilain virus nous extrait prématurément du Sud-Ouest de l’Argentine et pouf, nous dépose dans le Sud-Ouest de la France. Qu’à cela ne tienne, c’est l’occasion d’explorer tranquillement ce coin de pays, entre la fin du confinement et le retour des touristes. Nous démarrons cette série d’articles par le département du Lot, où nous avons imaginé une randonnée de deux jours dans le parc des Causses du Quercy, de Cahors à Saint-Cirq-Lapopie.
La grande nouveauté de cette aventure : nous avons investi dans une tente spéciale trekking, trois fois plus légère que la précédente. Cela change tout ! Nous pouvons la glisser dans le sac à dos sans risquer le déboîtage d’épaule et ainsi randonner sur plusieurs jours. Elle risque bien de nous suivre partout désormais.
Découverte de Cahors, notre ville de départ
Avant de fendre la campagne, nous explorons Cahors, nichée au creux d’une boucle du Lot (la rivière bien sûr, pas le département, sinon cela n’a aucun sens). Les berges, aménagées en jardins, nous mènent au pont Valentré. Et quel pont ! Un spectaculaire ouvrage fortifié qui nous arrive droit du Moyen Âge, conçu avec fortifications et meurtrières, de quoi bouter n’importe quel ennemi.
Un peu plus loin, le centre historique nous happe dans son enchevêtrement de ruelles. Elles semblent aussi anciennes que le pont, avec des détails qui électrisent notre détecteur à Moyen Âge : une fenêtre voutée par-ci, une porte travaillée par-là et des colombages partout !
Au centre du vieux centre, la zone commerçante mêle petits ateliers, restaurants et boutiques modernes qui semblent presque anachroniques. Autour s’entremêlent des ruelles tarabiscotées, dont certaines qui ne dépassent pas l’humain et demi de large !
Posée au cœur de la ville, la cathédrale possède une forme assez inédite. Sa façade massive évoque un château fort tandis que, juste derrière, surgissent deux larges dômes en ardoises semblant arriver droit d’Istanbul. Le mercredi, un marché de fruits et légumes se tient devant ses marches, un peu moins grand que le bazar d’Istanbul, mais sympa tout de même.
Et pour terminer notre visite, nous remontons la rue des Soubirous, entre deux rangées de porches médiévaux (décidément, c’est le thème de la ville !). Au sommet, le parvis de l’église Saint-Barthélemy offre en bonus une jolie vue sur la vallée du Lot.
Premier jour de randonnée : 18km de Cahors à Pasturat
Top départ ! Nous traversons le pont de Cabessut pour rejoindre le sentier GR 36. Depuis la rive opposée, le vieux Cahors ressemblerait presque à un calme village.
Bientôt, nous ne croisons plus que des fermes éparses, longeons des champs ou traversons des bosquets sans âme qui vive. À notre gauche s’écoule le Lot, imperturbable, sérénissime.
Soudain… surgi de nulle part… [musique inquiétante]… un oiseau large comme un corbeau fond sur Mi-raison. Il lui tire les cheveux puis se pose sur une branche proche. Nous tentons de l’effaroucher, il ne bronche pas d’un cil. Pire, c’est lui qui nous intimide par ses claquements de bec. Mi-raison reprend sa marche et à peine le dos tourné paf, le volatile refrappe !
Après renseignement, il s’agit d’un geai des chênes, joli oiseau au demeurant. Il défend paraît-il bec et ongles son territoire à la naissance de ses oisillons. Peut-être a-t-il installé son nid un peu trop proche du sentier durant le confinement ?
À travers les arbres, nous apercevons des villages, dont le magnifique Laroque-des-Arcs.
Aucun pont n’est prévu pour nous permettre de traverser et de visiter ses ruelles, pourtant si proches à vol d’oiseau.
Un peu plus loin, nous pique-niquons en compagnie de voisins pêcheurs du dimanche, face à Savanac. Encore un village aux maisons anciennes, médiévales aux entournures. Un point d’eau permet de réhydrater les gourdes.
À deux reprises, dans l’après-midi, des serpents détalent à notre arrivée. Eux aussi ont dû installer leurs terriers près du sentier, tandis que l’humanité se terrait. Rien à voir, mais nous croisons également des broussailles entières de vigne sauvage, restes du glorieux passé viticole de Cahors. À l’époque, ses vins surpassaient la piquette produite à Bordeaux.
Le dernier tiers de la journée s’éloigne des rives du Lot. Nous sommes bons pour une petite grimpette dans des collines peuplées de chênes. Ce type de paysage à la fois pierreux et touffu possède un petit nom : un « causse ».
Avec la combinaison basse saison et covid, nous nous attendions à croiser peu de randonneurs. Mais à ce point, c’est invraisemblable : quatre en deux jours. Surtout que nous remontons l’une des variantes importantes du chemin de Compostelle !
Une fois au sommet de la colline, vous avez le choix. Soit vous suivez les traces du GR 36 vers Biars, soit vous empruntez le raccourci indiqué par la trace GPS fournie en fin d’article. Dans les deux cas, vous rejoindrez le village de Pasturat, aussi pentu que mignonnet, installé autour d’une église de poupées.
Nous passons ici devant un gîte d’étape. Ces établissements paraissent nombreux et bien pratiques sur le chemin de Compostelle, nourrissant soir et matin et fournissant un pique-nique pour le troisième repas.
Bivouac en bord de Lot à Saint-Géry
Nous poussons jusqu’au village suivant, Saint-Géry, posé côté nord de l’eau, au pied de jolies falaises. À deux pas de la rivière s’étale un camping municipal officiellement fermé en basse saison, mais qui reste accessible sans barrières.
Infos pratiques : Pour profiter du camping en haute saison, entre le 15 juin et le 15 septembre, il faut s’enregistrer auprès de la mairie et régler une faible somme (7,50€ pour deux). En basse saison, l’eau est coupée et les sanitaires sont fermés, c’est presque du bivouac.
Nous montons la tente, débattons trente minutes du sens de couchage, le tirons à pile ou face, pique-niquons et dormons comme des princes dans un calme absolu. Enfin… presque…
Quelques heures plus tard, nous sommes réveillés par un coucou qui s’époumone au-dessus de nos têtes. Allez, c’est l’occasion de décoller à l’aube !
Deuxième jour de randonnée : 15km de Saint-Géry à Saint-Cirq-Lapopie
Notre camping est idéalement situé, il suffit de retraverser le pont pour récupérer ce cher GR 36 où nous l’avons laissé.
Un coup d’œil à la météo nous annonce un orage pour l’après-midi. Nous décidons d’accélérer le pas afin de terminer avant le déluge… qui ne dépassera finalement pas quelques gouttelettes. Fausse alerte.
La randonnée s’écarte rapidement du Lot pour s’enfoncer dans la forêt. Une forêt si couverte de mousse que nous nous demandons si une sorcière ne va pas surgir, et à quelle sauce elle nous mangera.
Puis, le sentier balisé repart sur les hauts causses. Nous sentons que nous ne sommes pas loin d’obtenir un point de vue.
Ah ! Voilà ! Un panonceau indique un belvédère, que nous nous empressons de suivre. Le détour de quinze minutes mène à ce point précisément (flèche bleue sur l’application Maps.Me) :
De temps en temps, une énigmatique cabane en pierres fait irruption au milieu d’un champ ou d’un bois, nous rappelant furieusement les trulli du sud de l’Italie.
Le sentier redescend au niveau du Lot et entre dans Bouziès, à ne pas confondre avec « Bouziès Bas », situé de l’autre côté de la rivière. Encore un petit bijou de village, tout de pierres et de fleurs sauvages apprivoisées.
Cette région ne cherche pas à briller, elle est belle par accident.
Juste en face du village, une étrange fortification protège l’entrée d’une grotte. Il s’agit du « Château des Anglais », qui n’a rien de britannique si ce n’est qu’il servit à se protéger d’eux.
Nous retrouvons ici des restaurants, inexistants depuis Cahors, ainsi qu’un vaste parking. Si Bouziès est touristique, c’est pour son chemin de halage. Cela tombe bien, il va dans notre direction ! À ceux qui l’ignoreraient, un tel chemin n’est pas conçu pour hâler au soleil, mais plutôt pour permettre à des chevaux ou bœufs de tracter des bateaux.
Le plus impressionnant, c’est qu’une portion de ce chemin fut creusée à la mimine, à flanc de falaise. Un artiste contemporain y a ajouté un grain de folie en sculptant d’étranges spirales sur quelques mètres. Nous recommandons totalement la promenade, même aux non sportifs.
Saint-Cirq-Lapopie : terminus tout le monde grimpe
Une dernière montée bien raide nous hisse au village de Saint-Cirq-Lapopie, perché au-dessus de la rivière. Un village tout simplement ADORABLE.
D’abord il y a les maisons, toutes d’époque, avec leurs jolies pierres, leurs jolies silhouettes, leurs jolis toits rouges. Puis les ruelles aux pentes escarpées et croulant sous les fleurs. Enfin, le sommet du village se partage entre une église qui fait tout pour se faire remarquer avec son étrange clocher-donjon, et un rocher-belvédère qui offre une vue imprenable sur la vallée.
Pas étonnant que Saint-Cirq-Lapopie soit classé parmi les plus beaux villages de France. Il fait même partie des tout premiers, si vous voulez notre avis. Le seul hic, c’est qu’il déborde rapidement de touristes l’été. Pour l’avoir déjà visité en plein mois d’août, c’est le jour et la nuit, nous nous sentons presque un peu trop seuls !
À chaque tour, Saint-Cirq-Lapopie nous dévoile de nouvelles ruelles et de nouveaux détails à observer. Nous passons également un bon moment à la terrasse d’un café, offrant un peu de répit à nos mollets ramollos.
Ne comptez pas trouver ici une boulangerie, ni même une épicerie, cela n’existe pas. Les boutiques sont toutes à destination des touristes, dont certaines de qualité, tenues par de véritables artisans en chair et en os, une espèce en voie de disparition. Côté musée, nous tentons de visiter la belle Maison Rignault, sa porte est malheureusement close.
En échange, nous optons pour une promenade autour du village afin de l’admirer sous tous ses angles. Si vous aimez les points de vue, commencez par rejoindre la chapelle Sainte-Croix (en 15 minutes de grimpette dans les bois), puis enchaînez avec le belvédère du cirque de Vènes (10 minutes).
Redescendez par la route bitumée (10 min) pour atteindre directement, selon nous, le plus beau point de vue sur le village, juste au-dessus de la porte de Rocamadour.
Empruntez ensuite cette fameuse porte et remontez le village jusqu’en haut (les mollets chauffent, c’est normal) et même au-delà. Repérez le chemin piéton qui mène au parking P5, offrant une perspective totalement différente sur Saint-Cirq-Lapopie.
En fin d’après-midi, nous aurions le temps de rentrer à Cahors en bus, mais nous choisissons plutôt de passer une nuit supplémentaire sous la tente. Nous rejoignons le joli camping de La Plage, situé un kilomètre en contrebas. Il vient tout juste de rouvrir, nous ne sommes pas nombreux à nous battre pour les emplacements ou les douches.
Ce lendemain matin-là, c’est une armée entière d’oiseaux piaillards qui nous tire du sommeil à l’aube. S’ils avaient des dents, nous pourrions croire qu’ils en ont une contre nous.
Nous sortons un œil de la tente, puis un deuxième, puis quatre, prestement rejoints par nos orteils et tout le reste, malgré le froid poignant. C’est qu’une chape de brume recouvre la vallée et que nous ne rêvons que d’arpenter à nouveau Saint-Cirq-Lapopie dans ces conditions.
Une fois les vapeurs évaporées, nous redescendons sur les bords du Lot, que nous découvrons… ainsi :
Certainement l’œuvre d’une puissante sorcellerie !
L’heure du retour sonne. En quarante minutes seulement, un bus nous dépose à Cahors.
Nous sommes absolument ravis de notre échappée et, surtout, de ce parcours qui mêle marche à pied et patrimoine. Maintenant que nous avons une tente dans le dos, nous recommencerons cette combinaison rando-camping PARTOUT où c’est possible !
Conseils pratiques pour randonner de Cahors à Saint-Cirq-Lapopie
Le parcours de la randonnée le long du Lot
Officiellement, le total des deux jours fait 33km. Mais si nous ajoutons les visites des villes et villages, ainsi que quelques détours volontaires et involontaires, nous avons probablement marché 10 kilomètres supplémentaires. Cela passe très bien sur deux jours car les sentiers sont agréables, loin des voitures et sans trop de dénivelé.
Le premier jour nous avons suivi cette trace GPS, le deuxième jour celle-ci.
Côté paysages, nous nous attendions à mieux profiter de la rive du Lot. Le sentier est en réalité rarement collé à l’eau, soit séparé par des arbres, soit beaucoup plus loin lorsqu’il monte sur les causses. L’itinéraire n’est pas monotone pour autant !
Équipement et vivres
Rien de particulier à signaler au niveau de l’équipement. Nous avions une tente ultralégère, des matelas gonflables, des duvets 10°C, de bonnes chaussures, des bâtons et de la crème solaire. Pour plus de détails, nous vous renvoyons vers cet article : Notre matériel de trekking, conseils et astuces.
Nous n’avons pas apporté notre réchaud, juste de la nourriture consommable sans cuisson. Nous vous recommandons d’emporter suffisamment pour tenir jusqu’au matin du deuxième jour. Puis vous pourrez déjeuner dans l’un des restos de Bouziès ou de Saint-Cirq-Lapopie. Autre solution, pour éviter de transporter sa nourriture : choisir le refuge de Pasturat en semi-pension.
Comme indiqué plus tôt, Saint-Cirq-Lapopie n’a ni épicerie, ni boulangerie. Il faut se rendre à Tour-de-Faure, de l’autre côté du Lot, non loin du camping.
Restaurants
- À Cahors : Nous nous sommes régalés chez Marie Colline, un joli petit resto végétarien qui propose deux plats par jour à bon prix. Mention spéciale pour les nombreux desserts ! Réservation impérative, prévenir la veille si vous êtes vegan.
- À Saint-Cirq-Lapopie : les restaurants sont nombreux, mais chers pour la qualité. Nous n’avons pas eu de coup de cœur. Pour un café le matin ou une glace l’après-midi en terrasse, nous pouvons vous conseiller l’auberge du Sombral, en plein centre.
Où dormir
- À Cahors : nous n’y avons pas dormi, cependant nous avons repéré le Camping Rivière de Cabessut, proche du sentier de randonnée. Pour ceux qui préfèrent une chambre, l’hôtel La Chartreuse (~62€)i semble proposer l’un des meilleurs rapports qualité/prix du centre-ville, avec vue sur le Lot.
- À la moitié de la rando : nous avons dormi au camping municipal de Saint-Géry. Sinon, si vous n’avez pas de tente, nous sommes passés devant ce gîte d’étape à Pasturat.
- À Saint-Cirq-Lapopie : Côté camping, nous étions très bien à celui de La Plage (17€ pour deux). Il se situe à 15-20 minutes à pied du village, mais proche du bus du retour vers Cahors. Il existe aussi des hôtels à Saint-Cirq-Lapopie (voir la listei), mais ils sont peu nombreux et pas donnés. Guère étonnant dans un village si petit et charmant. Pour plus de choix et de meilleurs tarifs, il faudra vous éloigner et viser les villages alentour.
Attention, beaucoup de campings et de gîtes de la région n’ouvrent que pour la haute saison, de juin à septembre.
Les transports
Nous avons laissé la voiture à Cahors, sur l’une des places de parking gratuites le long du Lot. Vous pouvez également venir à Cahors en train, la ville est desservie par une ligne nord-sud qui relie Paris à Toulouse.
En fin de randonnée, pour revenir depuis Saint-Cirq-Lapopie, il faut d’abord marcher jusqu’à la mairie du village voisin Tour-de-Faure (à 10 minutes à pied du camping, 25 minutes de Saint-Cirq-Lapopie). Le bus passe cinq à six fois par jour, un peu moins le weekend (voir les horaires de la ligne 889 ici). N’oubliez pas de garder les yeux ouverts sur le chemin étroit qui longe le Lot !
À voir ailleurs le long du Lot
Nous avons écrit un autre article à propos de ce beau département, mais cette fois en partant vers l’ouest de Cahors. La grosse différence est que nous étions en voiture, mais la balade vaut le détour : La vallée du Lot à l’ouest de Cahors : Albas, Puy-l’Évêque et autres villages.
Qu’est ce qu’il se passe mi-raison, tu as perdu ta tablette graphique et ton feutre noir ? 🤔😄
Le crayon a gagné à un plouf-plouf-c’est-toi-qui-sors !
Bon séjour en France, en attendant de pouvoir reprendre la route 🙂
Merci 🙂
On est toujours heureux de découvrir des coins de France qu’on connaît pas, ou peu dans ce cas !
Serait-ce les attaques de ce très beau geais qui t’on fait perdre ton feutre noir??? Sinon je vous rejoins totalement rando-camping le bonheur et la région s’y prête tellement bien.
Après l’achat d’une tente fonctionnelle, Imperméable (si si c’est un critère primordial quand tu campes dans des contrées réputées pour une météo humide) et légère, ça change la vie. Et je parle d’expérience 😀
A très vite
Virginie
Non, c’est une pie chapardeuse 🙂
On t’écrit justement depuis notre tente. On l’a déjà testée sous la pluie, rien à redire !
Merci pour ce beau reportage qui prouve encore une fois que la France a de très belles ressources ! Pourriez-vous m’indiquer quelle est la marque de votre tente s’il vous plaît ? Bonne continuation Stéphanie
Hello Stéphanie, il s’agit d’une MSR Freelite 2. Elle a des défauts, tels que le manque d’espace, la sensation de fragilité et le prix, mais elle est incroyablement légère. On ne peut pas tout avoir !
C’est assez terrible de ne même pas me souvenir de si j’ai déjà visité Cahors et Saint-Cirq-Lapopie. C’est l’age on va dire 🙂
Hmmm… ta mère nous disait qu’elle ne les avait jamais visitées, donc tu n’as pas dû le faire enfant ! En tous cas la région est vraiment sympa et peut faire de belles vacances sans prétentions !
Oui mais adulte, en habitant à Toulouse, j’ai peut-être été jusque là. Le bon point de l’amnésie, c’est qu’on peut refaire plusieurs fois des vacances pas trop loin et sans avoir d’impression de déjà-vu.
Super. 👍 bien illustré.
Merci !
Très chouette cette rando, ça donne bien envie !! Mais en effet, hors saison touristique…
Oui ! Pour visiter Saint-Cirq-Lapopie surtout. Parce que les sentiers, eux, doivent rester à peu près calmes même en été.
Merci beaucoup pour cette description très intéressante et très humoristique !!!! J’adoooooooooooooore…
Je vais faire ce périple avec mes deux garçons prochainement…
Bonne continuation et continuez à nous faire rêver.
Salut Josy, contents de t’être utiles ! On se réjouit pour vous, c’est une chouette balade.
Bonjour,
Pensez-vous que ce bivouac est faisable en février par une personne qui bivouac seule pour la première fois ?
Merci! 🙂
Bonjour Léna,
Oui, nous pensons que c’est faisable si la météo n’est pas trop mauvaise et si la « température de confort » de ton sac de couchage est compatible avec le minimum prévu. Ils ont l’air de prévoir 1°C ce weekend, cela demande un duvet bien épais !
Conseil : tu peux ajouter une couverture de survie, face dorée vers le bas, entre le matelas et le sol pour réduire la transmission du froid.
Bonjour,
Merci pour votre article détaillée et le partage de votre expérience. Je suis en train d’organiser une randonnée sur plusieurs jours dans la région et votre article m’a décidé pour la deuxième partie de notre séjour entre Figeac et Cahors.
Salutations,
Samantha
Super, on est contents d’être utiles. Bonne balade !